Mélicine A Avoli. Qui aurait pu penser, qu’un jour Aro Volturi soit renversé par ce petit bout de femme ? Surement personne. Bien sur personne n’était dupe que Mélicine aspirait à des rêves de souveraineté, ce n’était un secret pour personne. Cependant personne n’aurait cru qu’un jour son rêve devienne réalité. Je me demandais d’ailleurs comment elle avait fait. Aro était celui qui était le plus protéger par la garde, de la j’entends bien sur ces gardes du corps personnel, et aussi tout le reste de la troupe des Volturis qui ne vivait presque que pour le protéger. C’était un mystère quant à la manière dont elle s’y était prise, mais cela m’importait peu.

Je savais de source sure, que Mélicine avait repris le royaume des Volturis et qu’elle avait bien l’intention que Carlisle jadis son amant devienne son roi. Mais aujourd’hui bien des choses avaient changées depuis qu’il avait quitté les italiens. Il avait trouvé sa moitié, son âme-sœur et vivait très heureux avec elle. Carlisle avait tourné le dos a Mélicine et au quelconque amour qui aurait pu lui porter, et je savais que notre chère Mélicine n’avait pas encore dit son dernier mot.

De ce fait, j’avais décidé de me trouver un petit coin tranquille dans la ville de Forks. Je lui étais redevable pour ce qu’il avait fait quelques années auparavant, sans lui ma filleule n’aurait jamais connue sa mère. Je trainais dans le coin dans ce but, lui apportais une quelconque aide, même si je ne tenais pas non plus particulièrement à m’opposer à Mélicine. Nous étions amis autrefois avant que nous ne nous perdions de vue. A dire vrai, je ne savais quelle position prendre, Mélicine était une ancienne amie, les Volturis avaient été comme une famille pour moi après cette nuit épouvantable deux millénaires auparavant, et surtout j’étais redevable et j’avais une dette envers Carlisle. Quel choix faire ??

Je tournais en ronds dans la maisonnée que je m’étais trouvée à l’abord de la ville. Une ancienne demeure que personne ne voulait habités pour des rumeurs de fantômes, je l’avais eu à bas prix. Je l’avais retapée, elle en avait bien besoin.

Je tournais en ronds, quand une odeur familière me chatouilla les narines. J’allai à la fenêtre pour vérifier si mon odorat ne me faisait pas défaut, et mon odorat disait bien vrai. On ne pouvait s’y tromper avec sa petite taille et ces cheveux blonds pales qui ressortaient à la noirceur de la nuit. Je souris et me téléportais sur le perron. Je m’avançais vers elle contente de la revoir