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 Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche.

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Isabella M. Cullen

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Isabella M. Cullen

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MessageSujet: Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche.   Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche. Icon_minitimeMar 12 Fév - 17:43



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Il est vrai que ma vie, et davantage encore ma non-vie, m'avait apprit quelque chose de certain. J'aimais Edward. Je désirais Edward plus que tout. Il remplissait mon cœur, remplissait mes journées, rendait ma vie telle que je l'aurais toujours souhaitée : juste parfaite.

À tel point qu'il avait su me donner une fille. Une fille merveilleuse, qui avait agrandit mon cœur et finit de faire de moi la femme la plus comblée de l'univers.

Tout aurait pu être parfait, et ce à jamais. Avec, en plus, de ces deux êtres plus précieux que tout, une famille merveilleuse. Une famille qui avait tout risqué pour moi. Une famille que j'adorais. Mais tout avait basculé avec l'arrivée de Mélicine. Une immortelle qui se disait promise à Carlisle. Carlisle ... oui, le médecin, le père, le confident ... l'homme le plus intègre que je n'ai jamais vu et assurément l'un des plus courageux. Notre phare, notre refuge à tous. J'étais tombée des nues.
Carlisle avait un passé. Pouvais-je le lui reprocher ? Moi je n'avais aucun passé, il est vrai, mais j'étais si jeune. Et Edward lui, ne s'était jamais rien autorisé.

Je fermais les paupières.

Assise sur notre lit, dans notre chambre, dans le secret du cottage, la fenêtre ouverte sur le magnifique petit jardin qui s'ouvrait lui même sur la forêt. J'écoutais une pluie fine d'été tomber sur les feuillages, clapoter dans le lac artificiel qu'Esmé avait constitué, une représentation miniature de la plage de son île. Avec réellement du sable blanc autour. Un endroit magique que je n'avais manqué d'entretenir et dont j'avais quelque fois profité. Avec ma fille d'ailleurs, on s'y était déjà baignée. C'était un si bon souvenir ... Le souvenir d'une famille parfaitement en paix...

Mais c'était sans compter l'arriver de Mélicine accompagné d'un nombre conséquent de vampires sanguinaires. Je ne me sentais plus en sécurité depuis.
Je ne pouvais pas reprocher à Carlisle sa vie d'avant nous ... Même si elle restait confuse à mes yeux. Je lui devais tout. Déjà Edward qu'il avait sauvé. Ensuite, nos vies à tous quand il avait appelé à l'aide ses alliés pour protéger Renesmée. Oui, je lui devais tout. Alors, il me fallait l'aider.... le soutenir ... Dans la mesure du possible. Car, mon instinct de mère voulait protéger ma fille envers et contre tous. Je ne pourrais pas aider les Cullens si ça mettait en danger ma fille. Cette réflexion me brisait.

J'entendis un craquement dans la maison. Je su aussitôt de qui il s'agissait. Edward c'était absenté deux jours... Deux jours entier avec des vampires de notre famille et des loups des meutes de Jacob et Sam, afin de protéger les alentours des divers meurtres que pouvaient occasionner les vampires sanguinaires venus avec Mélicine. Ces rondes obligatoires nous avait séparé, pendant que je prenais un soin tout particulier à veiller sur ma fille.

Cette simple séparation, alors que nous étions collés l'un à l'autre depuis des années avait été insupportable. C'était comme m'arracher un membre. J'étais tellement peu sans lui. Et j'étais sûre d'une chose, je ne voulais au monde, rien d'autre que lui. Car il était mon tout.

Je me levais donc subitement, observais rapidement mon visage dans le reflet du miroir de la chambre. Il était de marbre. Une déesse à la peau blanche, aux yeux d'or étincellant, aux longs cheveux sombres qui tombaient sur sur un blazer noir et un pantalon de la même couleur. Habillée en combattante, en effet. Comme lorsque je craignais pour nos vies. J'avais accepté ces dernières années, de porter quelques tenues extravageantes d'Alice. Des robes, des talons ... et j'en passe. Mais ces derniers jours, ma belle soeur était débordée par ses visions. J'avais ressortis les vêtements moulants et sombre, parfaits pour le combat. Malgré tout, j'étais d'une élégance à couper le soufle. Mes cheveux si épais, mon visage si parfait. Je pensais à tout cela en une seconde puis me tournais vers la porte avec un instant d'arrêt. Peut-être ne devais-je pas courir à sa rencontre. Peut-être Edward avait-il besoin ... de temps ? Ou, je ne sais quoi ... Peut-être qu'il avait " apprécié " ces deux jours sans moi. Une éternité pour moi, un rien pour lui qui lui reposait la tête. Je ne savais pas pourquoi je doutais autant.

Peut-être parce que les derniers événements avaient remis en doute l'amour que pouvais me porter mon mari. Carlisle, qui était son exemple, était amoureux de Mélicine. J'en étais certaine. Une ancienne connaissance d'Edward ne viendrait pas un jour à le faire douter lui aussi ? En admettant que Carlisle, doute, ce dont je n'avais aucune preuve...

Je restais donc là, même si le temps écoulé entre l'entrée d'Edward dans le cottage, et ma décision de ne pas bouger, s'élevait à à peu près deux secondes.
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Edward M. Cullen

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MessageSujet: Re: Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche.   Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche. Icon_minitimeMar 12 Fév - 18:44

Deux jours ... juste deux jours sans mon épouse et j'avais l'impression d'avoir consacré une éternité toute entière à autre chose qu'elle. Autant dire que ça avait été un calvaire. D'autant plus qu'il fallait gérer les êtres dangereux alentours. Et si l'un d'eux avait tenté de s'en prendre à ma femme et à ma fille ? Je savais que Bella était une vampire puissante, capable de tout pour protéger notre enfant. Tout au point de risquer l'impossible, au point de me surprendre constamment. Mais j'avais eu peur.
J'avais refusé que Jacob nous accompagne, il était peut-être chef de meute, mais j'étais le seul à pouvoir lire dans les pensées de tout le monde. Et donc de pouvoir détecter le vrai danger. La place de Jacob était auprès de ma fille et de ma femme. Imprégné de notre enfant, il ne manquerait pas de veiller infiniment sur elle. Je savais qu'il serait prêt à tout pour les sauver. C'était le seul, en fin de compte, en qui j'avais complètement confiance sur ce point. Car finalement, son besoin de protéger ma fille, et même sa mère, était instinctif comme moi, un besoin contre lequel il ne pouvait guère lutter...

Nous avions croisés des vampires peu respectueux durant ce voyage aux alentours de Forks. Nous avions du les repousser le plus loin possible pour les empêcher de chasser des êtres humains. Mais ce n'était que délocaliser la mort. Ils tueraient forcément des innocents. Et nous étions impuissants face à cela. Partir ...et c'était propager le danger ailleurs ... Rester était notre seule option, rester tout en tachant de sauver les êtres qui avait grandit avec Bella, sa famille également, les humains tout simplement que nous connaissions depuis longtemps.

Je souffrais de mon impuissance face au danger qui nous guettait tous. Les Volturis morts ... certes, j'étais soulagé. Mais désormais, le monde vampirique était livré à lui même. Et on pouvait s'attendre à bien pire que l'ancienne menace volturienne, ou celle de quelques sanguinaires dans le coin... Si une guerre pour la nourriture se déclenchait sur le continent ... sur tous les continents ... la sécurité deviendrait un mot obsolète. Mais pas seulement, les morts humains et vampires se compteraient par millier ... et j'aurais l'impression, moi, le vampire amoureux d'une humaine, d'être à l'origine de tout cela...

Nous avions fait le ménage mais il restait encore beaucoup à faire. Chaque jour de nouveaux arrivants débarquaient à Forks. J'étais pourtant contre l'idée de passer mon temps à faire la police. D'une part, parce que ça ne servait qu'à agacer nos invités forcés, d'autre part, parce qu'il m'était physiquement impossible de me séparer de Bella plus de deux jours. Je me sentais mal. Comme si on m'avait privé de ma dose. Pourtant, Bella n'avait plus son odeur d'humaine qui me rendait fou. Bella avait bien plus que cela, elle avait tout... Absolument tout ce qu'une femme peut avoir pour combler son époux. Et même plus encore. Je n'en finissais pas de la découvrir.

Je fusais dans les bois après avoir fait part de mon devoir de rentrer auprès des miens à mes comparses. Jasper et Emmett m'imitaient. Jasper n'était pas partis aussi longtemps que nous. Alice était accablée par le milliard de visions différentes qu'elle avait chaque jour et qui changeaient sans cesse. Les décisions de vampires sanguinaires venus soit pour s'amuser, soit pour faire valoir ses ambitions politiques, soit par curiosité, soit sans raison précises qui changeaient sans cesse et mettaient en danger toute la population de Forks. Et puis, elle surveillait aussi Carlisle. J'avais lu dans son esprit à plusieurs reprises, quand elle avait eu des visions en ma présence.

Ce que j'avais vu tenait du cauchemar. Carlisle, prêt à suivre Mélicine. Cette vision n'avait duré qu'un fragment de seconde. Mais nous avions pu assister impuissant à ce que notre clan démantelé serait devenu. Ensuite, la vision avait été remplacé par d'autres, entre plus nombreuses, de combat, de résistance, parfois de la mort de l'un des nôtres, voire plusieurs... Mais restait que Carlisle, avait donc, l'espace d'une petite seconde, accepté l'éventualité de reprendre Mélicine ... Et, malgré le choc et la déception que cela m'avait causé, j’avais compris pourquoi. Carlisle savait que refuser, c'était se mettre à dos une armée entière qui ne cessait de s'agrandir contre nous. Carlisle choisirait ce qui nous éviterait la mort. Quitte à détruire notre clan, et à nous permettre de partir aux quatre coins du monde. Il essayait régulièrement de voir Alice, seul à seul, pour lui demander quelle serait l'issue, de telle, ou telle décision... Ils revenaient de ces entretiens encore plus malheureux... Je savais pourquoi, ce n’était qu'une question de temps, mais cela, devrait forcément finir mal, quoique nous fassions. Mélicine tuerait Esmée, elle tuerait même tous ceux qui se mettraient entre elle et Carlisle. Elle me tuerait moi aussi. Tuerait Bella...

Tout cela faisait vivre un cauchemar éveillé à Alice, qui avait besoin de Jasper au jour le jour, pour la calmer. Voilà pourquoi, mon frère et si bon combattant n'était pas très disponible. Emmett essayait de le remplacer. Il aimait le combat et ne passait pas une seconde loin des sentiers de la forêt, à pister nos ennemis. C'était pourtant dur pour lui. Je savais qu'il était peiné de laisser Rosalie. Mais cette dernière combattait elle aussi, elle surveillait les abords de la villa, et protégeait comme une damnée Renesmée. Grâce à elle, Jacob et bien entendu, Bella, j'étais rassuré quant au devenir de ma fille. Du moins pour le moment.

Je fermais la porte du cottage. J'avais les pensées complètement ravagées par la peur. Quoiqu'il advienne, nous étions en danger. J'aurais voulu fuir avec ma femme et ma fille, mais l'idée de tous les abandonner ... me rendait fou. Je devais tout à Carlisle. Tout.

L'odeur de Bella était partout dans la maison. Elle me pénétra les narines avec une telle intensité que j'en restais bouche bée. Elle m'avait manqué au point, qu'à peine entré, je sentis mon corps s'enflammer sans que je puisse le contrôler. Je me sentais presque honteux d'avoir soudainement si brutalement envie de ma femme, alors que tout notre famille était en danger...

Après une seconde de réflexion, je filais dans notre chambre à coucher. J'avais entendu un froissement de vêtement, preuve que Bella était là. J'étais surpris qu'elle ne vienne pas à ma rencontre. Le manque d'elle me rendait fou.

J'ouvrais la porte de la chambre avec une telle férocité qu'elle quitta ses gonds, et tomba sur le sol.

Bella était là. Debout, figée, très fine, habillée de noir. Elle me regardait, comme hésitante, bien que son visage de marbre fut parfait et placide.

-Bella !

Je vins à vitesse vampirique contre elle. La prit dans mes bras. La serrait contre mon corps. Je sentais le sien, plus frêle, et pourtant aussi fort, contre ma poitrine, son odeur se répandre en moi. Je touchais ses cheveux, les respirais comme si je n'avais jamais senti fragrance plus parfaite.

-Tu m'as manqué ... je n'en pouvais plus. J'ai cru que j'allais devenir fou.

J'embrassais son front et puis, posais mes lèvres sur les siennes. La brûlure dans mon corps devint plus forte. J'avais honte de la désirer autant que cela me paraissait normal.
Je l'embrassais férocement, ne me rendant même pas compte que mes mains arrachaient lentement le blazer qu'elle portait. Ne me rendant pas compte que je l'écrasais contre moi, que je la poussais jusqu'au lit sur laquelle je la faisais tomber.

Je l'embrasser sans regarder ses yeux, sans même attendre sa réponse, je l'embrasser à vitesse vampirique parce que notre temps me semblait une fois de plus compté.
Puis soudain je me figeais. Je me redressais. Bella allongée en dessous de moi, les cheveux éparpillés sur le lit, magnifique toison châtain roux, son visage resplendissant, ses yeux brillant, son souffle court me regardait avec passion. Ainsi avait-elle aimé mes baisers, ainsi, comme toujours, il en fallait peu pour l'emporter dans la même passion que moi.

-Où est Renesmée ? demandai-je.
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Isabella M. Cullen

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MessageSujet: Re: Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche.   Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche. Icon_minitimeMar 12 Fév - 19:05

Soudainement, il y eu encore du bruit dans le cottage. Je regardais la porte, immobile, en attente de ce que mon mari déciderait. J'étais prête à rester calme, à ne pas l'inonder de mon désir, à ne pas l'épuiser de mon manque. Il avait du tant gérer, il avait sûrement besoin de paix. De calme. De bien être. Et pas d'une épouse folle, éperdument folle qui ne pouvait vivre cinq minutes sans lui.
Pourtant, d'un coup, la porte se retrouva projetée sur le sol. Edward apparut à sa place, le visage inquiet, le souffle court. Je n'eus pas le temps de réagir qu'il fut contre moi. Sur moi, presque en moi, tellement il était proche. Il me serra, me respira, me parla et embrassa mes lèvres. À cet instant, je ne fus plus capable de répondre de moi. Je l'embrassais voracement moi aussi, le serrais moi aussi contre moi, de façon démente. Je sentais ses doigts griffer mes vêtements, nos corps se presser au point d'être douloureux. Je sentais que son corps était dans le désir de me prouver son amour. Et je n'avais plus rien d'autre en tête d'ailleurs. Je me retrouvais sur le lit en une seconde, ravagée du plaisir que le baisers d'Edward créaient en moi.

Puis, tout à coup, Edward se redressa, me regarda, perdu et me demanda où était notre fille. Reprenant mon souffle, bien que je n'en avais besoin que pour parler, je me mis à rire. C'était nerveux. J'étais amusé de voir qu'il se rappelait d'elle au beau milieu d'un commencement d'ébats, tellement notre manque commun l'avait embrouillé.

Puis je tendis un doigt vers son visage et caressais sa mâchoire doucement.

-Elle va bien. Elle est avec Rosalie, Esmée et Jacob dans la villa. Ils se sont enfermés à l'étage. Alice m'a mise dehors parce qu'elle a vu que tu n'allais pas tarder.

Je soupirais en regardant son visage parfait. Le désir en moi, une flamme, un raz de marrée, ne daignait pas disparaitre, pas même en parlant d'autre chose.

-Alice dit que je suis insupportable quand tu n'es pas là, avouais-je avec un sourire. Elle dit qu'elle me voit sans cesse changer d'avis et que ça l'épuise. Quand je suis partis, elle s'était autorisé une pause auprès de Jacob. Histoire de ne plus rien voir pendant cinq minutes.

Je pinçais les lèvres. Je n'avais pas vu Alice sourire depuis très longtemps. Elle n'était plus qu’inquiétude. Et je ne pouvais rien faire pour elle. Je fermais les paupières. Une seule chose m'aurait apaisé.

-Jasper et Alice m'ont confirmés, l'un parce qu'il était avec vous un moment, l'autre parce qu'elle l'a vue en vision, que tout s'est bien passé de ton côté. Du moins, aussi bien que possible. J'avais peur pourtant. Je devenais folle aussi. J'ai juste envie d'être avec toi maintenant. Accorde moi quelques minutes je t'en supplie.

Cette fois je le regardais suppliante, et le tirais par la chemise pour replonger sur mes lèvres. Je le suppliais parce que je ne voulais pas qu'il parle de ses craintes. Ou du danger qui allait tous nous détruire. Je voulais qu'il s'autorise à oublier, au moins quelques minutes. Et moi, je le voulais lui.

Je l'embrassais voracement et le pressais contre moi.
Puis j'écartais les jambes, et l'emprisonnait contre mon buste, si fermement que j'aurais pu le briser.
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Edward M. Cullen

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MessageSujet: Re: Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche.   Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche. Icon_minitimeMar 12 Fév - 19:47

Bella répondit à toutes mes interrogations soigneusement, sans même que j'ai besoin de la questionner réellement. J'avais été tellement envahi du désir de la retrouver que je ne m'étais pas d'abord inquiétait du sort de notre fille. Bien sûr, je savais qu'elle était en sécurité. Bella ne m'aurait pas attendu seule au cottage si ça n'avait pas été le cas. Mais malgré tout, je ne me sentais capable de me laisser aller que quand je savais notre famille en sécurité ... aussi relative soit-elle bien entendu.

Tout en l'écoutant, j'observais ma femme avec passion. Je n'avais jamais vu être plus beau qu'elle, plus désirable. Son visage, sublimé par la transformation était une sorte d'ode à la beauté, ses lèvres gourmandes, une sonate de velours... J'avais tellement envie d'elle que ça en devenait presque grotesque, vu la situation périlleuse. Mais ce n'était pas étonnant. Ne sommes nous pas plus pressé de profiter de ce que nous allons perdre ? N'est ce pas meilleur quand nous savons la fin proche ?

Peut-être, mais je n'en étais pas certain. Rassuré par tout ce qu'elle venait de me raconter, j'obtempérais sans me faire prier. Je la laisser m'embrasser. M'embrasser au point de me faire perdre pied, tandis qu'elle m'emprisonnait entre ses jambes...

Tout à coup, il n'y eu plus qu'elle et moi dans l'univers. Comme à chaque fois que nous nous retrouvions. Je me penchais sur elle et reprit ses lèvres, puis, lentement, m'attardais sur sa gorge pour enfin descendre vers sa poitrine. Là, à l'aide de mes dents, j'arrachais lentement son vêtement.

Ensuite, tout ne fut que douceur, plaisir, tendresse, un des moments les plus forts, les plus intenses de nos existences mêlées. Je vivais pleinement dans ses bras, et me sentais infiniment conquis par sa beauté, par la passion qu'elle faisait naître en moi, par le délice que tout mon corps recevait avec magie. Quand nous étions seuls, et que nous laissions nos instincts s'exprimer, il n'y avait plus besoin de mot, plus besoin de réflexion, et pendant ces moments là, j'étais l'homme le plus heureux du monde.
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Isabella M. Cullen

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MessageSujet: Re: Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche.   Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche. Icon_minitimeMer 13 Fév - 16:14

Edward accepta ma requête plus vite que je n'aurais pu l'espérer. Ses lèvres prirent les miennes avec un délice rare. Je savais qu'il présageait un plaisir qui ne me laisserait pas reprendre mon souffle avant quelques heures. C'était tout ce que je pouvais vouloir pour le moment. Je le laissais me déshabiller, en souriant, heureuse que nous puissions nous retrouver dans la simplicité, malgré tout ce qui avait pu se passer.

Bientôt, la pièce, le décor, la porte arrachée au mur, le bruit du lac qui clapotait dans le jardin, les oiseaux qui chantaient après la pluie et que nous entendions par le fenêtre, oui, tout cela n'exista plus. Il n'y eu plus que lui et moi. Nous. Un nous si superbe qu'il me remplissait d'extase. Chaque geste d'Edward était magique. Je m'y sentais libre. Je m'y sentais pure. Et surtout, j'y prenais goût, à chaque seconde un peu plus, comme si c'était la première fois, comme si tout cela était neuf. Mais ça l'était finalement, dans le plaisir que ça m'offrait.

Nous n'étions pas repu l'un de l'autre quand le petit matin arriva, dans une douce lumière argent, qui miroitait depuis le lac, baigné lui même dans une brume délicate. J'osais un œil dehors, tandis que tout mon corps nu restait collé à celui de mon époux.

-Il va falloir nous lever, murmurai-je à regret.

Je regardais à nouveau mon époux, ses yeux doré étaient superbes. J'étais allongée sur lui, et je m'y sentais comme chez moi. C'était d'ailleurs l'endroit où je me sentais le mieux au monde. J'aurais voulu que de tels instants durent éternellement. Mais il y avait ma fille. Bien que déjà grande et pour la plupart du temps dans les bras de Jacob, j'avais besoin de la voir. Même si j'avais un cœur immense qu'elle avait agrandit, rester loin d'elle trop longtemps me l'arrachait.

Je caressais les cheveux soyeux de mon époux d'une main distraite.

-J'ai adoré ... j'ai tout adoré.

Je parlais de ce que nous venions de faire. Je n'avais pas d'autre mot pour décrire cette ivresse de plaisir qui avait duré des heures.

-Si nous survivons à ce qui va arriver, il faudra qu'on s'accorde de vraies vacances loin de tout. Pour pouvoir vraiment crier.

Je ris et embrassais doucement ses lèvres.

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Edward M. Cullen

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MessageSujet: Re: Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche.   Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche. Icon_minitimeMer 13 Fév - 17:52

Le matin arrivait, un rayon de soleil se chargea de mettre un terme à nos ébats. Ce qui me semblait trop insupportable. Bella fut la première déconcentrée par la lumière. J'aurais voulu qu'elle n'y prête pas la moindre attention, qu'elle continue de m'embrasser et de me donner du bonheur, parce que l'idée de reprendre le cours de nos vies me rendait fou. Je ne voulais pas souffrir à nouveau. Je ne voulais pas m'approcher d'Alice et être le témoin silencieux de notre potentiel et terrible avenir. Je ne voulais pas me sentir une fois de plus impuissant. Alors qu'auprès de Bella ... avec ce que nous faisions ... je me sentais plus fort que jamais.

Mon épouse était allongée sur moi, elle observait le soleil se lever. Du moins, le peu de lumière qui arrivait à traverser l'épaisse forêt qui entourait le cottage. Moi je ne regardais que la femme de ma vie. Je touchais ses longs cheveux d'une main, de l'autre, je caressais son dos si délicat, si fin, si doux, qu'il était difficile de croire qu'elle puisse être si forte par ailleurs.

Bella suggéra de se lever. Tout mon corps disait non. Tout mon corps disait oui à elle, à tout ce qu'elle voudrait qu'on fasse encore. Rien n'était répétitif dans l'amour. C'était juste parfait.

Je savais pourtant qu'elle avait raison, nous devions aider les nôtres, et aussi nous assurer que notre fille était en sécurité, bien que je n'en doutais pas une seconde. Jacob veillait au grain. Un peu trop d'ailleurs ... Ces derniers temps, ils étaient trop collés ... je ne supportais pas de les voir à ce point écrasés l'un contre l'autre. Je me doutais que les choses n'allaient pas tarder à devenir sérieuses entre eux. Le supporterais-je ?

Je faisais l'amour avec ma femme depuis quelques années maintenant, et c'était au-delà du plus fin des plaisirs. Je comprenais que mon ... quoi ... comment le dire ? Mon " gendre " ? Devait avoir envie " d'intensifier " la relation qui l'unissait à ma fille. Bien sûr, il était imprégné, et cela lui donnait une patience d'ange ... mais Renesmée changeait ...

Bien que je n'écoutais pas ses pensées, des images accablantes me prenaient pas surprise. Elle avait envie de lui. Aussi horrible cela puisse paraître. Et bien que Jacob se maîtrisait de façon exceptionnelle, c'était réciproque. Je savais comment était faite ma femme, comment elle savait extrêmement bien rendre nos moments intimes incroyables. Je savais aussi combien Nessie lui ressemblait physiquement ... Je me doutais que cela les rendrait heureux, même si j'aurais voulu, en père aimant, que cela n'arrive jamais... Jamais ... JAMAIS !

Je fus pris de cours par la réflexion de mon épouse. Elle disait qu'elle avait " adoré " ce que nous venions de faire. Le mot était faible pour dire ce que moi j'avais ressenti. Comme à chaque fois, ce que je vivais avec elle était au-dessus de tout.

Elle m'embrassa, je répondis voracement à son baiser pour la remercier. Qu'avais-je fais de bien pour mériter une femme aussi exceptionnelle ? D'un autre côté, avec ce que l'avenir promettait, j'allais peut-être la perdre, alors c'était peut-être une punition de pouvoir goûter au paradis, pour ensuite le voir disparaître devant mes yeux.

Mais je n'allais pas m'en priver pour le moment. Quand elle parla de vacances qui nous permettraient de crier autant que désiré, je ne pu m'empêcher de la faire rouler sous moi, enflammé tout à coup par ce sujet sensuel. Et, d'un coup de rein, je la fis mienne.
Je posais alors mes lèvres sur les siennes et murmurais doucement :

-Imagine que tu es déjà en vacance. Oublie le reste.

Ensuite, je l'emmenais aux pays des merveilles pour la trente troisième fois depuis cette nuit, et profitais pleinement du voyage avec elle.
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Isabella M. Cullen

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MessageSujet: Re: Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche.   Ce qui est neuf pour moi, c'est tout ce que tu touche. Icon_minitimeJeu 14 Fév - 0:41

Ma référence aux cris que nous ne pouvions pas pousser sembla passer pour une provocation. Et je me vis tout à coup basculer, en un rien de temps Edward était sur moi. À sa place. Car autant j'adorais m'allonger sur lui, autant il était merveilleux que ce soit son tour, et qu'il prenne les commandes. D'ailleurs, je me retins de pousser un cri de surprise lorsqu'il prit plus que les commandes. Je me mis à rire ensuite, en entendant sa suggestion. Comment ignorer la situation actuelle ? Nous étions loin d'être en vacance. Mais cette réflexion disparut vite, noyée dans un torrent de plaisir. Quand Edward décidait de me rendre heureuse, je n'étais plus capable de réfléchir.

En tant que vampire, j'avais un cerveau en mesure de compartimenter les pensées et les sensations. Le choix notamment de m'arrêter sur quelque chose de particulier. Et ne penser plus qu'à cela. Quand je vivais des moments comme celui-ci, c'est à dire les plus agréables de mon existence, je ne voyais, ni ne ressentais plus rien d'autre que toute cette orgie de délice qui me tombait dessus, autant qu'elle me transperçait. C'était magique de n'exister plus que dans l'instant, et Edward, savant faiseur de plaisir, était vraiment doué pour rendre le monde et le passé aussi insignifiant qu'un brin d'herbe.

Certes, la réalité reprenait parfois ses droits, entre deux accalmies de délice, et aussi parce que je n'étais jamais totalement décidée à oublier tout. J'avais une famille. Pas seulement une fille, mais des beaux parents, beaux frères et belles sœurs, que je considérais comme de mon sang. Je les aimais profondément. Je leur devais Edward, je leur devais Renesmée. Ils avaient tout risqué pour notre amour et pour notre fille. Et puis, ils étaient tous géniaux et attachants. Dignes d'être aimés, juste par leurs caractères hors normes, leurs qualités, leurs histoires.

C'était MA famille. Pour toujours.

Lorsqu'après des sensations si fortes qu'impossibles à décrire, Edward m'embrassa une dernière fois doucement sur les lèvres et s'écarta de moi pour s'allonger finalement à mes côtés, toutes ces pensées me traversèrent l'esprit. Je comprenais, grâce à cette réflexion, que je n'étais pas décidée à abandonner les miens. Que même pour protéger ma fille, mon cœur resterait déchiré dans mon devoir de protéger également la famille au complet. Et puis, je connaissais désormais suffisamment Renesmée pour savoir qu'elle n'accepterait jamais de fuir pour sauver sa peau. Je devais l'accepter, elle était adulte maintenant, même s'il lui restait encore du temps pour murir. Elle me ressemblait beaucoup, et également à son père. Elle avait malheureusement hérité de son côté extrêmement têtu parfois. Je savais parfaitement qu'elle serait prête à se battre. Même si, nous serions légion pour l'en empêcher. Jacob, Edward, Rosalie et moi même serions les premiers à la maintenir prisonnière s'il le fallait. Le reste de la famille suivrait. Elle était notre merveille, notre semi-humaine, preuve que nos âmes valaient quelque chose, preuve que cet amour impossible, ce combat mené en famille pour le permettre, avait eu raison d'être. Mieux encore, il était destiné à produire l'être le plus pur et le plus sublime que je connaisse. Une créature que ni le temps, ni la noirceur n'atteignait. Ma fille.

-On ne les laissera pas faire, déclarais-je au bout d'un moment. Personne ne nous prendra notre éternité. On va se battre pour elle, encore une fois.


Je me tournais vers Edward, m'appuyant sur un coude.

-À chaque fois c'est encore meilleur. Ça mérite de se battre non ?


Cette fois j'avais parlé avec moins de sérieux. Ma première phrase transpirait la peur que j'avais des dangers qui nous guettaient. Mais je venais de comprendre qu'Edward avait plus de raisons que moi de s'inquiéter. Et je devais être apaisante pour lui. Aussi préférais-je partir sur le ton de l'humour.
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