Un baignade ?

Messages : 56 Date d'inscription : 03/08/2012 Age : 32 Localisation : Devine ^^

Rester à la villa était devenue … invivable. Surtout depuis qu’Alice avait eu une vision annonçant la venue d’une certaine Mélicine. Celle-ci nous avait annoncé qu’Aro était tombé confirmer par l’une des visions d’Alice et que Mélicine avait l’intention de prendre le royaume des vampires, de le gouverner pour être plus précise avec Carlisle, son ancien … époux.

Si un jour, on m’avait dit Carlisle avait eu une liaison avec un vampire sanguinaire qui plus est lorsqu’il avait vécu à Volterra, je l’aurais réfuté. Carlisle qui avait vécu avec les Volturis ne s’était jamais nourri de sang humain et j’avais du mal à penser qu’il avait pu ne serait-ce qu’envisager d’être en couple avec une vampire sanguinaire.

Tout en me sortant de la villa et en me dirigeant vers la montagne, je fronçai les sourcils. Carlisle et Esmé représentaient pour moi le couple parfait, les parents parfaits, bref, une relation qui ne pouvait connaitre que des hauts. Je n’avais aucun doute quand à la réponse formelle de Carlisle à savoir un grand NON, à la nouvelle arrivante. Mais même … penser que Carlisle … pfiou. Je soupirai, les pensées se bousculaient dans ma tête. Et je ne savais pas quoi penser de tout cela.

Je ne me rendis compte que je n’avais fait que courir durant tout le trajet lorsque j’arrivais dans les plus profonds des bois. Je m’arrêtais et laisser libre cours à mes sens. Un troupeau de biche s’enfuyait à toute vitesse surement poursuivis par un prédateur, un lapin creusait son terrier vers l’est et j’entendais l’eau du lac qui m’appelait. Nonchalamment, sans vraiment penser a ce que je faisais je me dirigeais vers le petit lac, et m’assis sur l’un des rochers.

J’enlevai mes chaussures et laisser tremper mes pieds dans l’eau. Je sentis l’odeur d’un vampire derrière moi, je ne réagis pas, attendant que mon ours me rejoigne le sourire aux lèvres.

Spoiler:

Messages : 30 Date d'inscription : 18/08/2012

Les récents évènements avaient engendré dans la villa des périodes tellement tendues que ça me rendait moi même moins vivable. Tout le monde se posait des questions sur la fiabilité du don d'Alice, d'autres, comme moi, était tellement surpris par la nouvelle qu'il ne voulait même pas y croire malgré que la vérité fut bien présente. Je ne tenais plus dans cet espace confiné, il fallait que je m'échappe, que je respire la liberté quelques instants. Heureusement, ma femme, Rosalie, avait le même point de vue que moi et avait elle aussi le besoin de se délivrer de ce supplice, car en effet c'en était bien un.

Nous avions donc décidé, Rose et moi, de .. prendre notre journée rien que nous deux pour profiter de l'autre. Ces derniers temps, nous avions été que très rarement seuls. Ces retrouvailles promettaient d'être bénéfiques. Mais au début, ma déesse semblait ailleurs, j'avais l'impression qu'elle ne me voyait ou du moins qu'elle faisait semblant de ne pas me voir. Nous partîmes donc silencieusement vers les montagnes.

Mais à mi-chemin de notre direction je fus plus ou moins distrait par un troupeau de biches. Rose, elle, était passée par là depuis une bonne minute mais n'avait pas ressenti le besoin de s'arrêter quelques instants contrairement à moi. Je n'avais pas bu depuis assez longtemps pour que mes yeux deviennent noirs et là était le moment opportun. Sans plus attendre, je m'étais jeté sur ce troupeau sans même chercher le plus gros. Au bout de trois minutes à peine, quatre bêtes étaient liquidées et regroupées en un petit tas. Avant de repartir vers ma dulcinée, je jetai un regard sur mes vêtements et fus surpris de voir mon tee shirt blanc de couleur rouge. Ce beau tee-shirt n'avait plus aucune chance de survies, de décidai donc de l'enlever et de me diriger en jean vers Rosalie.

Il me fut très aisé de retrouver sa trace, elle dégagée une odeur tellement exquise que même un humain l'aurait retrouvé. Je m'empressai donc de suivre sa trace qui m'emmena jusqu'au cours d'eau. Une fois arrivé, j’aperçus les talons haut de cette dernière reposant sur les feuilles quelques feuilles mortes. Ma jolie femme s'était assise sur une pierre afin de tremper ses pieds dans l'eau. Cela me donna une idée, pourquoi ne pas se baigner tout à l'heure? Je verrai cela plus tard avec elle. En attendant je m'approchai doucement d'elle tout en guettant un signe de sa part mais rien ne vint. A part le le bruit des oiseaux et de l'eau qui coulait aucun son ne me parvenait. Rompant ce petit manège, je vint m'asseoir près de Rose en deux enjambés. Je lui prit sa main droite et m'amusai avec cette dernière. C'était devenu un réflexe chez moi, je ne ressentais aucun besoin de bouger mais à force d'imiter les humains, on faisait comme eux. Je me permis de la regarder et me mis à parler par la suite:

"- Rose, tu sais ce que j'ai envie de faire là?

Sans lui laisser le temps de répondre je me penchai vers elle et déposai tendrement un baiser sur ses lèvres roses. Je me détachai d'elle suite à ce petit baiser et lui fit part de ce que je ressentais à propos de cette situation.

- Tu sais, ça me manque ça. Je ne sais pas si tu l'as remarqué toi aussi, mais en ce moment ces instant seuls toi et moi sont rares, très rares. J'espère que nous pourrons profiter de cette journée au maximum car tu me manque énormément. Tu as beau te trouver à quelques mètres de moi, ton corps me manque, ces lèvres si douces me manquent aussi, tout me manque. "

Je lui jetai un regard amoureux en attendant qu'elle me réponde.

Messages : 56 Date d'inscription : 03/08/2012 Age : 32 Localisation : Devine ^^

Assise sur ce rocher, les pieds trempés dans ce lac, j’attendais presque impatiemment qu’Emmett me rejoigne. Mais tout aussi impatient que moi, il me rejoigna en quelques enjambés. Mon homme s’assit à mes côtés et me prit la main dans la sienne jouant avec, ce qui à force du temps était devenue un reflexe. Il me lança un regard tendre et me demanda si je savais ce qu’il voulait faire. J’avais bien ma propre idée, ce qui agrandit mon sourire jusqu’aux oreilles. Je ne pus répondre, mes lèvres étaient occupées avec les siennes, mais ce fut de courte durée, juste un bref baiser tendre et amoureux.

Il me fit part de ses intentions, ce qu’il ressentait, ce que je ressentais, en bref ce que nous ressentions. Nos baisers lui manquaient. Comme ce que je ressentais il m’apprit qu’il n’en pouvait plus de ces instants si rare, trop rare, ou nous pouvions nous retrouvés entre nous. Juste lui et moi. Il espérait pouvoir profiter de cette journée à fonds, juste tout les deux. Mon corps et mes lèvres lui manquait : à qui le disait-il ? Il n’était pas le seul à éprouver ce qu’il ressentait, moi-même a plusieurs reprises avait du agripper, le premier objet venu pour ne pas me jeter à son cou. En même tant, qui pouvait résister à un tel dieu ? Surement pas moi.

Il me lança un regard attendant ma réponse. Je notai au passage qu’il était torse-nu, et je me demandai bien ou se trouver la chemise qu’il avait portée ce matin. Etait-ce Alice, épuisée de le voir portée sa chemise fétiche lui avait forcée à l’enlevée ? Je doutais. Arrêtant de me demander ou se trouver cette chemise (avouons-le, une journée entre nous, rien que lui et moi on savait très bien qu’au final il n’y aurait pas beaucoup de vêtements qui resteraient en vie), je posai ma main sur sa joue et l’embrassait tendrement, prolongeant le baiser, ne me lassant pas de retrouver le parfum et sa peau contre la mienne.

Je mis fin au baiser cependant, et me levant, j’enlevai mon pantalon ainsi que mon chemisier et en sous-vêtement plongea dans le lac. Je fis quelque brasse sous l’eau, et remonta la surface.

- Si tu me rejoins en moins d’une seconde tu auras le droit à une journée inoubliable.

Le tout dit avec un sourire joueur.

Messages : 30 Date d'inscription : 18/08/2012

Ce moment que je trouvais si extraordinaire était enfin arrivé. Cela faisait longtemps que je l'attendais bien que pour nous, vampire, le temps est différent. Ce qui vous parait être un jour pour les humains est en fait une seconde pour nous. Notre journée à nous s'étendait jusqu'à l'éternité, cette éternité que je comptais passer avec ma femme et le reste de la famille. Mais en ce moment c'était dans les yeux de ma femme que j'étais plongé, elle avait des yeux, comme nous autres végétariens, jaunes, cette or liquide dans lequel j'aimais me plonger. Mais je ne pus les admirer plus longtemps, ma folie blonde s'avança vers moi et repris notre baiser où il s'était arrêté et ceci eu le don de nous rapprocher plus que nous l'étions déjà. J'avais passé ma main dans son dos et mon autre main lui caressait tendrement la joue. Goûtant plus encore à ses lèvres, faisant mener une danse sensuelle avec nos langues. Tout cela m'animait de beaucoup de plaisir. Mais une fois de plus, notre baiser fus stoppé mais cette fois-ci par elle. Et ce qui suivit promettait une belle journée.

En moins d'un huitième de seconde elle se fut redressée et commençait à ôter ses habits de façon à se retrouver en sous vêtements. Je n'étais pas le seul à avoir eu envie de goûter à son corps... je voulais dire à plonger dans le lac. Et c'est d'ailleurs ce qu'elle fit après que j'ai pu admirer son corps de déesse scintillant quelque peu grâce aux faibles rayons du soleil. Elle se permit quelques brasses durant quelques mètres et une fois qu'elle fut remontée à la surface elle me dit d'une manière plus que provocante et joueuse:

- Si tu me rejoins en moins d’une seconde tu auras le droit à une journée inoubliable.

Ne me le faisant pas répéter je me mis à mon tour debout et commençait à enlever ma ceinture. Mais lorsque celle-ci fut par terre, j'avais déjà compter sept centièmes de secondes, j'étais trop lent. Sans réfléchir, j'arrachai mon jean laissant découvrir un caleçon blanc. J'ôtai rapidement mes chaussures et d'un bon atterrit à quelques centimètres de ma dulcinée que j'enlaçai rapidement. Mes bras étaient désormais au plus bas de son dos et m'approchant de ses lèvres je lui soufflai:

- Je crois que ma journée inoubliable sera pour aujourd'hui. J'ai mis quatre-vingt neuf centièmes de secondes et je te met au défi de me contredire.

Je reposai mes lèvres sur les siennes, avec plus de fougue cependant et inconsciemment, je la levai légèrement découvrant ainsi sa poitrine cachée par son soutien-gorge hors de l'eau. Je descendis mes lèvres sur son cou en jouent de mes dents sur sa peau lui déposer un ultime baiser avant de partir à une centaine de mètre et lui dit:

- C'est bien beau mais en attendant c'est moi qui fait tout les efforts.. Tu pourrais peut-être y mettre du tien.

Je savais très bien qu'elle ne s'arrêterait pas là, j'attendis donc qu'elle vienne à moi..

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